Qu'est-ce que c'est ?
Notre centre de langue a pour vocation de développer le plurilinguisme et le pluriculturalisme. Il ne s’agit pas
de « suivre des cours sur les langues étrangères », mais bien de pratiquer les langues pour développer aisance et précision dans leur
utilisation, que ce soit pour un usage social, académique ou professionnel.
de « suivre des cours sur les langues étrangères », mais bien de pratiquer les langues pour développer aisance et précision dans leur
utilisation, que ce soit pour un usage social, académique ou professionnel.
Maîtriser la grammaire ?
Les recherches en neurolinguistique (Michel Paradis, Norman Segalowitz, Nick Ellis) ont montré que la précision linguistique et l’aisance à communiquer en langue étrangère reposent sur deux composantes essentielles : une compétence implicite ou habileté, non consciente, et des connaissances conscientes, dont on peut rendre compte verbalement et qui sont des savoirs (savoirs personnels, culturels ou sur la langue).
Ces découvertes ont amené des didacticiens canadiens (Claude Germain, Joan Netten) à proposer une distinction entre deux types de grammaires : la grammaire interne et la grammaire externe. La grammaire interne renvoie à l’idée de la compétence implicite qui permet à une personne de générer des phrases naturellement, en lien avec ses pensées et émotions. Ce processus se développe par la pratique régulière et spontanée de la langue, et non par la simple mémorisation de règles ou de vocabulaire. C’est bien la grammaire interne qui est au cœur de la fluidité linguistique. La grammaire externe, elle, nous permet de nous reprendre quand nous avons une hésitation, de faire des choix stylistiques et, bien sûr, d’écrire avec une orthographe conforme au bon usage.
Notre démarche d’enseignement repose sur l’Approche Neurolinguistique (ANL), qui met l’accent sur le développement de cette grammaire interne à travers d’interactions orales qui sont systématiquement modélisées et corrigées pour aider l’apprenant à parler correctement et de manière naturelle la langue en apprentissage. Parallèlement, la grammaire externe, qui regroupe les règles explicites de la langue, est enseignée de manière progressive et contextualisée au travers de textes écrits, permettant ainsi de bien distinguer ce qui est de l’ordre de l’oral et ce qui est de l’ordre de l’écrit ainsi que de s’assurer une maîtrise complète et de l’orthographe et de la littératie dans langue cible étudiée.
Ces découvertes ont amené des didacticiens canadiens (Claude Germain, Joan Netten) à proposer une distinction entre deux types de grammaires : la grammaire interne et la grammaire externe. La grammaire interne renvoie à l’idée de la compétence implicite qui permet à une personne de générer des phrases naturellement, en lien avec ses pensées et émotions. Ce processus se développe par la pratique régulière et spontanée de la langue, et non par la simple mémorisation de règles ou de vocabulaire. C’est bien la grammaire interne qui est au cœur de la fluidité linguistique. La grammaire externe, elle, nous permet de nous reprendre quand nous avons une hésitation, de faire des choix stylistiques et, bien sûr, d’écrire avec une orthographe conforme au bon usage.
Notre démarche d’enseignement repose sur l’Approche Neurolinguistique (ANL), qui met l’accent sur le développement de cette grammaire interne à travers d’interactions orales qui sont systématiquement modélisées et corrigées pour aider l’apprenant à parler correctement et de manière naturelle la langue en apprentissage. Parallèlement, la grammaire externe, qui regroupe les règles explicites de la langue, est enseignée de manière progressive et contextualisée au travers de textes écrits, permettant ainsi de bien distinguer ce qui est de l’ordre de l’oral et ce qui est de l’ordre de l’écrit ainsi que de s’assurer une maîtrise complète et de l’orthographe et de la littératie dans langue cible étudiée.
Prononcer comme un natif ?
L’idée que, passé un certain âge, on ne pourrait plus prononcer correctement les langues que l’on souhaite apprendre trouve son origine dans d’une analyse absolument pertinente et très ancienne, celle d’Evgueni Dmitrievitch Polivanov, un linguiste russe (polyglotte orientaliste spécialiste de la langue japonaise) qui fut le premier a émettre l’idée que, lorsque nous entendons une langue étrangère, notre cerveau cherche à reconnaître dans le flux sonore perçu des éléments identifiables, repérés par comparaison avec la (ou les) langue(s) que nous parlons déjà. Dans son ouvrage de 1931, La perception des sons d'une langue étrangère , il explique que notre oreille identifie les sons qui sont dans notre langue, mais pas ceux qui n’en font pas partie (voyelles, consonnes, phonèmes), et il ajoute que nous identifions également comme potentiellement porteur de sens les phénomènes sonores (intonation, organisation et distribution de phonèmes, etc.) qui ont du sens dans notre langue usuelle, tandis qu’il est d’autant plus difficile d’attribuer du sens à un phénomène vocal entendu que celui-ci s’éloigne de la langue que nous avons l’habitude d’utiliser pour communiquer.
Cette idée cruciale a inspiré tout un courant de penseurs et notamment un autre linguiste russe, Nikolaï Sergueïevitch Troubetzkoï, (généralement considéré comme le père de la phonologie moderne) qui a formulé la métaphore conceptuelle suivante : « L’homme s'approprie le système de sa langue maternelle. Mais s’il entend parler une autre langue, il emploie involontairement pour l’analyse de ce qu'il entend le "crible phonologique" de sa langue maternelle qui lui est familier. Et comme ce crible ne convient pas pour la langue étrangère entendue, il se produit de nombreuses erreurs et incompréhensions. Les sons de la langue étrangère reçoivent une interprétation phonologiquement inexacte, puisqu'on les fait passer par le "crible phonologique" de sa propre langue.» (Principes de phonologie, 1939).
De là est née l’idée que, passé un certain âge, on ne pourrait plus apprendre à prononcer correctement. Et s’il a été démontré que, lors du babillage, le petit bébé teste tous les sons possibles qu’il est en mesure de réaliser avec sa bouche en ne retenant, progressivement, que ceux avec lesquels il parvient à entrer en communication avec son entourage, cela ne signifie pas que, une fois l’âge adulte atteint, on ne pourrait plus réaliser ces sons. D’ailleurs, au sein même de leur langue dite “maternelle”, certaines personnes ont besoin de l’accompagnement d’un orthophoniste pour parvenir à prononcer certains sons ou autres défis articulatoires. Si l’on peut aider un monolingue à prononcer certains sons, pourquoi cela ne serait-il plus possible pour une seconde ou une troisième langue ?
Le « crible phonologique » est assurément une réalité statistique. Mais il n’est pas une fatalité individuelle. Pour s’en convaincre, il n’est que d’écouter parler Akira Mizubayashi, écrivain japonais d’expression française https://www.youtube.com/watch?v=iLmgGY7Ed-I. Et l’on trouve bien d’autres « plurilingues tardifs » nous sont de bons exemples du fait qu’on peut acquérir une prononciation « sans accent » même en ayant commencé à apprendre une langue étrangère à un âge avancé. Pour information, la première interférence pour apprendre à bien prononcer étant – nul besoin de faire référence à des études savantes pour le comprendre – le fait de commencer l’apprentissage de la langue vivante avec des supports écrits : en effet, tout système de transcription écrite n’est qu’un moyen approximatif et imparfait de rendre compte de la matière sonore d’une langue. Comment voulez-vous bien lire dans une langue dont vous ne savez pas encore prononcer les sons de base ? Ainsi se sont succédé des générations d’apprenant d’anglais dont les Britanniques ont tiré l’expression « Speaking English like a French man », et les Français de leur côté stigmatisant les immigrants en disant d’eux qu’ils « parlent français comme des vaches espagnoles. » Ces locutions – pas toujours bienveillantes, malheureusement – nous disent clairement à quel point la qualité de la prononciation d’une langue est un facteur d’intégration sociale.
Atteindre en langue étrangère une prononciation semblable à celle d’un « natif » de nécessite, certes, une volonté réelle de bien prononcer, mais cela n’est pas suffisant. En raison, précisément, du fameux « crible phonologique » précédemment décrit, l’accompagnement d’un enseignant – expert en modélisation puis correction de la prononciation – s’impose. Les techniques sont nombreuses, il faut du temps pour les apprendre et surtout savoir les bien utiliser. C’est pour raison, tous les enseignants de La Ferme Linguistique sont en formation permanente dans ce domaine et en mesure de vous aider à prononcer efficacement.
Cette idée cruciale a inspiré tout un courant de penseurs et notamment un autre linguiste russe, Nikolaï Sergueïevitch Troubetzkoï, (généralement considéré comme le père de la phonologie moderne) qui a formulé la métaphore conceptuelle suivante : « L’homme s'approprie le système de sa langue maternelle. Mais s’il entend parler une autre langue, il emploie involontairement pour l’analyse de ce qu'il entend le "crible phonologique" de sa langue maternelle qui lui est familier. Et comme ce crible ne convient pas pour la langue étrangère entendue, il se produit de nombreuses erreurs et incompréhensions. Les sons de la langue étrangère reçoivent une interprétation phonologiquement inexacte, puisqu'on les fait passer par le "crible phonologique" de sa propre langue.» (Principes de phonologie, 1939).
De là est née l’idée que, passé un certain âge, on ne pourrait plus apprendre à prononcer correctement. Et s’il a été démontré que, lors du babillage, le petit bébé teste tous les sons possibles qu’il est en mesure de réaliser avec sa bouche en ne retenant, progressivement, que ceux avec lesquels il parvient à entrer en communication avec son entourage, cela ne signifie pas que, une fois l’âge adulte atteint, on ne pourrait plus réaliser ces sons. D’ailleurs, au sein même de leur langue dite “maternelle”, certaines personnes ont besoin de l’accompagnement d’un orthophoniste pour parvenir à prononcer certains sons ou autres défis articulatoires. Si l’on peut aider un monolingue à prononcer certains sons, pourquoi cela ne serait-il plus possible pour une seconde ou une troisième langue ?
Le « crible phonologique » est assurément une réalité statistique. Mais il n’est pas une fatalité individuelle. Pour s’en convaincre, il n’est que d’écouter parler Akira Mizubayashi, écrivain japonais d’expression française https://www.youtube.com/watch?v=iLmgGY7Ed-I. Et l’on trouve bien d’autres « plurilingues tardifs » nous sont de bons exemples du fait qu’on peut acquérir une prononciation « sans accent » même en ayant commencé à apprendre une langue étrangère à un âge avancé. Pour information, la première interférence pour apprendre à bien prononcer étant – nul besoin de faire référence à des études savantes pour le comprendre – le fait de commencer l’apprentissage de la langue vivante avec des supports écrits : en effet, tout système de transcription écrite n’est qu’un moyen approximatif et imparfait de rendre compte de la matière sonore d’une langue. Comment voulez-vous bien lire dans une langue dont vous ne savez pas encore prononcer les sons de base ? Ainsi se sont succédé des générations d’apprenant d’anglais dont les Britanniques ont tiré l’expression « Speaking English like a French man », et les Français de leur côté stigmatisant les immigrants en disant d’eux qu’ils « parlent français comme des vaches espagnoles. » Ces locutions – pas toujours bienveillantes, malheureusement – nous disent clairement à quel point la qualité de la prononciation d’une langue est un facteur d’intégration sociale.
Atteindre en langue étrangère une prononciation semblable à celle d’un « natif » de nécessite, certes, une volonté réelle de bien prononcer, mais cela n’est pas suffisant. En raison, précisément, du fameux « crible phonologique » précédemment décrit, l’accompagnement d’un enseignant – expert en modélisation puis correction de la prononciation – s’impose. Les techniques sont nombreuses, il faut du temps pour les apprendre et surtout savoir les bien utiliser. C’est pour raison, tous les enseignants de La Ferme Linguistique sont en formation permanente dans ce domaine et en mesure de vous aider à prononcer efficacement.
Parler couramment une langue étrangère ?
Thématisé au Canada (C. Germain, L’ANL, Foire aux questions, p.51, 2017), le « paradoxe grammatical » est un concept pédagogique qui procède d’une observation que vous pourrez vous-même faire aisément : comment se fait-il que malgré des années passées à étudier une langue étrangère, quand il s’agit de s’engager dans une véritable conversation, la plupart éprouvent la plus grande difficulté à communiquer ? Y compris parmi ceux qui avaient les meilleurs résultats à l’école ! Quand bien même « on comprend » la langue étrangère, quand il s’agit de s’engager dans une conversation, « ça bloque ! ». Cela montre avec évidence qu’il y a un hiatus entre la mémorisation et l’application des règles grammaticales enseignées à l’école, d’une part, et les situations de communication réelle, d’autre part. Ce paradoxe révèle ainsi la distinction à prendre en considération entre les savoirs sur la langue (qui sont une connaissance explicite), constitué des règles qui sont apprises consciemment, et l’habileté à communiquer, la capacité d’utilisation fluide et automatique de la langue, qui doit pouvoir se faire sans effort conscient, sans quoi l’esprit est entièrement mobilisé sur la façon de parler et non sur le contenu de pensé dont nous voulons parler. Les recherches des neurosciences corroborent ces observations (Norman Segalowitz, Cognitive Bases of Second Language Fluency, éd. Routledge, 2010) : elles nous disent que pour un accès lexical rapide et une véritable automaticité des formulations de nos idées, il est nécessaire de développer une compétence implicite, qui est de nature non consciente. En bref, pour pouvoir interagir de manière fluide en langue, comme pour la musique ou pour un sport, il est nécessaire d’avoir un entraînement spécifique, systématique et adapté.
Dans cette perspective, tous nos parcours de formation sont établis en accord avec les apprenants sur la base d’un entretien diagnostique (renouvelé après chaque période de 48 heures passées avec les enseignants), afin d’analyser les forces et les faiblesses, les motivations personnelles, les possibilités d’intégration dans son emploi du temps individuel d’un rythme d’entraînement régulier, dans le but d’optimiser et l’enseignement, pour notre école, et l’apprentissage, pour l’apprenant. Notre mission est de transformer votre désir de langue étrangère en une démarche efficiente sur le long terme, qui prend en considérant les paramètres organisationnels, cognitifs et psychologiques pour vous aider à développer votre bi-, tri-, plurilinguisme – en fonction de vos besoins spécifiques.
Dans cette perspective, tous nos parcours de formation sont établis en accord avec les apprenants sur la base d’un entretien diagnostique (renouvelé après chaque période de 48 heures passées avec les enseignants), afin d’analyser les forces et les faiblesses, les motivations personnelles, les possibilités d’intégration dans son emploi du temps individuel d’un rythme d’entraînement régulier, dans le but d’optimiser et l’enseignement, pour notre école, et l’apprentissage, pour l’apprenant. Notre mission est de transformer votre désir de langue étrangère en une démarche efficiente sur le long terme, qui prend en considérant les paramètres organisationnels, cognitifs et psychologiques pour vous aider à développer votre bi-, tri-, plurilinguisme – en fonction de vos besoins spécifiques.
J'ai un besoin spécifique !
Inutile de perdre son temps avec des explications grammaticales et des exercices qui n’ont aucun rapport avec nos besoins ! À La Ferme Linguistique, nous avons opéré une inversion du paradigme curriculaire ! Qu’est-ce à dire ? Au lieu de partir d’un manuel, d’une liste de points de langue ou de leçon toutes faites… nous partons de vous-mêmes, de votre réalité, de vos besoins, pour construire, séance par séance, les contenus d’apprentissage qui correspondent à vos objectifs.
Comment cela est-il possible ? En prenant appui sur le séquençage appelé boucle de littératie (Claude Germain, Joan Netten, Littératie spécifique à L2, Réflexion Vol 31, CASLT 2012), nous commençons toujours nos séances de travail par une phase orale prenant appui sur ce dont vous vous voulez parler (ou dont vous avez besoin de parler). Ce travail strictement oral (sans support écrit) nous permet de nous assurer de la formulation des phrases : prononciation, morphostructure, adéquation idiomatique entre le contexte d’utilisation et l’idée exprimée. Ensuite, dès que l’on parvient à dire, on peut passer à une phase de lecture : la lecture n’est pas un déchiffrage du sens, mais une transcription dans le système d’écriture de la langue cible (chaque langue ayant ses spécificités) de ce qu’on l’on sait déjà dire. Enfin, les enseignants vous livrent systématiquement un document audio réalisé à partir de votre texte de lecture pour vous permettre de réécouter, d’associer la prononciation à l’écriture et de mémoriser. Chaque nouvelle séance commence toujours par une réactivation des contenus introduits lors des séances précédentes. Tout est fait, à La Ferme Linguistique, pour accompagner votre mémorisation. Le point crucial, ce n’est pas d’être savant en grammaire : c’est de s’exprimer avec une grammaire correcte dans des contextes authentiques !
Que vous soyez grands débutants, intermédiaires ou très avancé dans la langue que vous souhaiterez développer, vous pouvez faire confiance à l’expertise de nos enseignants qui sont non seulement formée en didactique des langues, mais qui ont tous une qualification en approche neurolinguistique d’enseignement des langues étrangères. Depuis 25 ans que cette méthodologie a été développée d’abord au Canada puis aux quatre coins du monde, les témoignages et les résultats de cette méthodologie attestent de son efficacité.
En complément des séances en face à face avec les enseignants, vous disposerez également, outre les textes et les audios « Taylor made » de vos séances, de notre base de données de ressources pédagogiques (si vous souhaitez des explications ou des exercices complémentaires sur tel ou tel point de langue), ainsi que d’un outil de cartes mémoires automatisées et réalisées sous le contrôle de vos enseignants, si vous désirez accélérer ou renforcer votre apprentissage sur un axe particulier.
N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information.
Comment cela est-il possible ? En prenant appui sur le séquençage appelé boucle de littératie (Claude Germain, Joan Netten, Littératie spécifique à L2, Réflexion Vol 31, CASLT 2012), nous commençons toujours nos séances de travail par une phase orale prenant appui sur ce dont vous vous voulez parler (ou dont vous avez besoin de parler). Ce travail strictement oral (sans support écrit) nous permet de nous assurer de la formulation des phrases : prononciation, morphostructure, adéquation idiomatique entre le contexte d’utilisation et l’idée exprimée. Ensuite, dès que l’on parvient à dire, on peut passer à une phase de lecture : la lecture n’est pas un déchiffrage du sens, mais une transcription dans le système d’écriture de la langue cible (chaque langue ayant ses spécificités) de ce qu’on l’on sait déjà dire. Enfin, les enseignants vous livrent systématiquement un document audio réalisé à partir de votre texte de lecture pour vous permettre de réécouter, d’associer la prononciation à l’écriture et de mémoriser. Chaque nouvelle séance commence toujours par une réactivation des contenus introduits lors des séances précédentes. Tout est fait, à La Ferme Linguistique, pour accompagner votre mémorisation. Le point crucial, ce n’est pas d’être savant en grammaire : c’est de s’exprimer avec une grammaire correcte dans des contextes authentiques !
Que vous soyez grands débutants, intermédiaires ou très avancé dans la langue que vous souhaiterez développer, vous pouvez faire confiance à l’expertise de nos enseignants qui sont non seulement formée en didactique des langues, mais qui ont tous une qualification en approche neurolinguistique d’enseignement des langues étrangères. Depuis 25 ans que cette méthodologie a été développée d’abord au Canada puis aux quatre coins du monde, les témoignages et les résultats de cette méthodologie attestent de son efficacité.
En complément des séances en face à face avec les enseignants, vous disposerez également, outre les textes et les audios « Taylor made » de vos séances, de notre base de données de ressources pédagogiques (si vous souhaitez des explications ou des exercices complémentaires sur tel ou tel point de langue), ainsi que d’un outil de cartes mémoires automatisées et réalisées sous le contrôle de vos enseignants, si vous désirez accélérer ou renforcer votre apprentissage sur un axe particulier.
N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information.
LA FERME LINGUISTIQUE © 2024
info@lafermelinguistique.fr
09 50 29 26 42
07 83 85 36 56
Tous droits réservés
Google
4,9
(28 avis)
29 rue Pierre Tarlé
76240 Le Mesnil-Esnard, FRANCE
SIRET : 90124383200010
TVA : FR68901243832
: E10304592